Analyser pollution numerique des entreprises
Analyser la pollution numérique des entreprises pour mieux protéger l’environnement
Aujourd’hui, le changement climatique constitue le principal sujet de préoccupation environnementale à l’échelle mondiale. Des dispositions ont été prises pour en limiter les impacts comme la mise en place des différentes aides dédiées aux travaux d’isolation thermique des bâtiments, l’installation de systèmes de chauffage performants et respectueux de l’environnement, etc. Du côté des entreprises, les aides vont servir à analyser la pollution numérique en interne et ainsi atteindre la sobriété énergétique.
Qu’est-ce que la pollution numérique ?
La pollution numérique désigne les conséquences environnementales générées par différentes activités numériques comme stocker des fichiers sur le cloud, envoyer un courriel, effectuer des recherches sur internet, etc. Toutes ces tâches consomment, en effet, de l’énergie alors que dépense énergétique est toujours synonyme de pollution. Il faut alors savoir que cette forme de pollution est à l’origine de 4% des émissions de gaz à effet de serre dans le monde.
Nombreux sont les acteurs responsables de la pollution numérique :
- Les datacenters
Ces espaces de stockage et de traitement des données consomment près de 10% de l’électricité dépensées par le secteur de l’IT puisqu’ils doivent fonctionner en permanence, 24h/24 et 7j/7.
- Les producteurs d’appareils connectés
La fabrication d’un seul matériel électronique comme un téléphone portable requiert l’utilisation de 60 matériaux extraits des ressources minières et pouvant entraîner l’épuisement de ces dernières.
- Les logiciels et applications
Leur utilisation consomme beaucoup d’énergie.
Pourquoi analyser la pollution numérique des entreprises ?
Si le premier objectif qui vient à l’esprit pour la mise en place d’une analyse de la pollution numérique des entreprises est un souci de préservation de l’environnement, d’autres raisons peuvent motiver cette étude :
- Réduire les frais. Après synthèse de l’analyse, il ressort toujours des solutions pour faire baisser les coûts de fonctionnement, souvent avec des gestes très simples, comme vider les boîtes mails des spams et autres courriers inutiles ;
- Se forger une image d’acteur de la transition. Le public y étant de plus en plus sensible, l’entreprise gagne en notoriété et augmente par là même son chiffre d’affaires ;
- Se préparer à d’éventuelles nouvelles normes. Vu les objectifs de diminution des émissions de gaz à effets de serre pour 2050, tout le monde est invité à apporter sa contribution. Et si l’obligation de mesurer l’empreinte carbone se limite actuellement aux entreprises de plus de 500 salariés, aux collectivités territoriales de plus de 50 000 habitants et aux établissements publics et services de l’État de plus de 250 agents, il y a fort à parier que celle-ci va s’étendre à toutes les entreprises ;
- Réaliser un audit. Pour analyser la pollution numérique des entreprises, il va falloir prendre en compte aussi bien le matériel que son utilisation, mais également le fonctionnement des équipes en leur sein, ainsi que tout un tas d’autres paramètres. Au final, cette analyse se rapprochera fortement d’un audit. Cela peut permettre aux dirigeants d’avoir une vision plus globale avec un regard différent qui va faire ressortir des problématiques qu’ils n’auraient pas pu voir autrement.
Les solutions d’analyse de pollution numérique des entreprises
Trois solutions s’offrent à vous pour effectuer cette analyse :
Avec Verdikt, au bout d’une semaine seulement de collecte d’informations et d’analyse de ces dernières, vous obtenez un chiffrage de votre pollution numérique par poste, mais également des pistes pour l’amélioration de votre bilan carbone. Véritable outil de développement de l’entreprise, les conclusions obtenues vous permettront de tendre vers vos Objectifs de Développement Durable et d’améliorer votre démarche RSE tant sur l’environnemental que sur le social et l’économique.
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