5 étapes clés …
dans un premier mode d’emploi structuré et éprouvé !
#Collecter – un peu rébarbatif mais on n’échappe pas à quantifier et qualifier les multiples sources d’empreinte écologique du numérique. L’exercice mené sur l’impact environnemental nous a conduit à plus de 25 thèmes identifiés et 250 critères à renseigner. Plus la nécessité, pour une analyse exhaustive de cycle de vie, d’enrichir l’inventaire de références externes (constructeurs, ADEME, …).
#Mesurer – cela présuppose d’avoir formalisé une méthodologie d’analyse, d’avoir défini des indicateurs de durabilité pertinents à suivre et développé des algorithmes de calcul fiables. Les données récoltées doivent être agrégées et pondérées pour évaluer puis consolider les indicateurs de performance retenus.
#Restituer – la mise en forme des indicateurs et graphiques clés doit être réfléchie pour faciliter la compréhension du bilan de maturité, en détail et au global, en mettant l’accent sur l’état des lieux actuel, éclairé d’une mise en perspective à des fins de vulgarisation des bonnes pratiques des sujets abordés.
#Comparer – mieux se connaitre c’est bien, pouvoir se situer dans son environnement pro c’est mieux ! Pas évident en démarche isolée, d’effectuer une analyse statistique, qui positionne les résultats d’une évaluation, à la fois au global et selon des critères de secteur, de taille d’entreprise, … pourtant intéressant pour mesurer le chemin parcouru ou encore à parcourir !
#Partager – concevoir un rapport détaillé mettant en lumière les points maîtrisés, les axes de progrès à considérer avec leurs conditions de mise en oeuvre, autant d’éléments nécessaires au pilotage d’un plan d’amélioration dans la durée. Et bien sûr, crucial de pouvoir en faire bénéficier son écosystème, interne pour factuellement renforcer la sensibilisation et externe pour associer ses partenaires à cet exercice d’impact !